Qui êtes-vous ?

Toulouse.
Auteur : Serge BOYER. Professeur agrégé d'histoire-géographie. Au lycée Ozenne dep 2002, j'ai eu des activités de formation à l'IUFM et participé à des manuels et rédigé des articles dans la revue "Espace Prépas". Enseigne en CPGE depuis 2009. Auteur principal du nouveau manuel "réussir sa prépa" sorti en 2017 chez Studyrama et réactualisé pour le nouveau programme (sortie juin 2021). Jurys : CAPES, ECRICOME, TBS, GEM. Chargé de cours à TSE sur l'histoire des faits économiques et de TD de géopolitique à l'Université Jean Jaurès. Mail : sergeboyer@netcourrier.com

mercredi 24 février 2016

Forte baisse de la Livre

Brexit : la livre au-dessous de 1,40 dollar, son plus bas depuis 2009

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Vers 09H00 heure de Tokyo (00H00 GMT), la livre sterling a chuté à 1,3987 dollar, touchant un nouveau plus bas depuis mars 2009.
Vers 09H00 heure de Tokyo (00H00 GMT), la livre sterling a chuté à 1,3987 dollar, touchant un nouveau plus bas depuis mars 2009. (Crédits : LUKE MACGREGOR)
La monnaie britannique poursuit sa plus forte chute depuis mars 2009 face au dollar. La crainte du Brexit s'accroît et inquiète les investisseurs.
La livre britannique est tombée, mercredi 24 février, au-dessous de 1,40 dollar dans les échanges matinaux en Asie, pour la première fois en près de sept ans, sur fond d'incertitudes à quatre mois d'un référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne (UE).
Vers 09H00 heure de Tokyo (00H00 GMT), la livre sterling a chuté à 1,3987 dollar, touchant un nouveau plus bas depuis mars 2009, contre 1,4022 dollar deux heures plus tôt, avant de remonter légèrement.
Face à la monnaie unique, elle était également sous pression, s'affichant à 78,809 pence pour un euro, contre 78,57 pence mardi vers 22H00 GMT.
La livre avait entamé sa descente lundi après le ralliement de l'influent maire de Londres Boris Johnson aux partisans de la sortie du pays de l'UE, une perspective redoutée par le grand patronat et la City.

Référendum sur un Brexit le 23 juin

La campagne bat son plein depuis l'annonce de la tenue d'un référendum le 23 juin, à la suite des concessions obtenues par le Premier ministre britannique David Cameron à Bruxelles en fin de semaine dernière auprès de ses partenaires européens.
Le chef du gouvernement a mis en garde contre un Brexit qui menacerait, selon lui, la sécurité "économique et nationale" de la Grande-Bretagne.
Il a été rejoint le lendemain par une myriade de grands patrons qui ont pointé dans une lettre collective les dangers d'un tel scénario.
"Quitter l'UE découragerait l'investissement, menacerait l'emploi et mettrait en danger l'économie. Le Royaume-Uni sera plus fort, plus en sécurité et plus riche en restant un membre de l'UE", déclarent les 200 signataires, parmi lesquels figurent 36 présidents ou directeurs généraux des 100 plus grandes entreprises cotées à la Bourse de Londres.
(Avec AFP)

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