L’ASPECT FORMEL DE LA COPIE : 26 consignes pour réussir sa
dissertation d’HGG
1 Organisation :
-une page de garde complète (voir modèle 1) : nom,
prénom, section, date, matière, type d’épreuve
-le sujet est obligatoirement réécrit au-dessus de
l’introduction
-des repères clairs : numéros à chaque page, éventuellement
signes ( ) au début et à la fin du
développement
- saut de 3-4 lignes entre l’introduction et le début du
développement et entre la fin de ce dernier et la conclusion
-saut de 1 ligne entre chaque partie
-formation de paragraphes dans chaque partie (3-4
paragraphes/partie)
2 Soin général :
-une écriture agréable à lire
-une copie aérée par un alinéa systématique à chaque
début de paragraphe (voir modèle 2)
-une encre foncée (car plus visible)
3 Orthographe et
style :
-évitez les fautes répétitives : accents, accords, majuscules… Vous pouvez, par ex, écrire les noms propres en
majuscules
-style épuré et simple : faire des phrases courtes (évitez
les phrases relatives à rallonge)
-bien utiliser la ponctuation :
-utilisez le présent narratif (et non le futur qui implique un trop fort déterminisme historique)
-il faut avoir une volonté constante d’être clair et limpide en reliant
les idées qui se succèdent : au niveau global de la copie, le plan
sert à cela, mais dans la rédaction, il est aussi nécessaire de montrer que vos
idées s’enchaînent de manière logique et cohérente. Pour cela, il existe dans le français de nombreux termes :
4 Une copie type :
- norme de 8 pages, soit : - une page d’introduction (soit 2/3 de pages, car espace
de la page de garde),
-
2 pages/partie, soit un développement d’environ 6 pages
-une
conclusion (plus courte que l’introduction)
-attention : une copie extensive de plus de 10 pages
illustre votre difficulté à synthétiser.
5 Les erreurs qui
énervent le correcteur :
- ratures (1 pt en moins/rature)
-des fautes concentrées, répétitives ou à des noms propres
célèbres (Mitterrand…)
-l’oubli des majuscules aux périodes historiques (Guerre
froide)
-écriture peu lisible, car, soit maladroite, soit trop
petite
-copie non aérée (alinéa, sauts de lignes…)
-parler au futur
-une conclusion-fleuve (où l’on dit ce qui aurait du être
traité dans le développement) qui débute par « Pour conclure »
Serge Boyer, janv 1992 ; revu en 2011. Tableaux
issus de l’ouvrage de Dieudonné, Crampon et Labrune « Histoire et
géographie. Méthodes et techniques » ; Nathan, 1993.
Page de garde parfaite d'une ancienne étudiante d'Ozenne, Camille Pavy
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